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Démission du Premier ministre : Sébastien Lecornu accepte « par devoir » la mission de former un gouvernement…

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Suivez avec nous les dernières informations politiques après l’annonce de la renomination de Sébastien Lecornu à Matignon

Pas de « deal », ni « aucune assurance, ni garantie » selon le PS
Le PS n’a « aucun deal » avec Sébastien Lecornu sur une non-censure, ni « aucune assurance, ni garantie », affirme Olivier Faure, secrétaire général du parti.

« Macron ne peut faire autre chose que du Macron », affirme Mélenchon sur X
Sur X, Jean-Luc Mélenchon a raillé la nomination du gouvernement Lecornu II, estimant qu’« à chaque tour du manège, le pompon reste au même endroit ». Le leader de La France insoumise juge que ceux qui ont participé à cette « comédie » en sortent « ridiculisés » et conclut : « Macron ne peut faire autre chose que du Macron. »

 

Jordan Bardella annonce que le RN censurera le nouveau gouvernement
Sur X, Jordan Bardella a vivement réagi à la nomination du gouvernement Lecornu II, qu’il qualifie de « mauvaise plaisanterie », de « honte démocratique » et d’« humiliation pour les Français ».

Le président du Rassemblement national estime qu’Emmanuel Macron, « plus que jamais isolé et déconnecté à l’Elysée », agit par peur de la dissolution. Il a annoncé que son parti déposerait immédiatement une motion de censure contre ce gouvernement « sans aucun avenir ».

Il veut « mettre un terme à la crise politique » et pose ses conditions : débats parlementaires complets, priorité au rétablissement des comptes publics, neutralité vis-à-vis de la présidentielle de 2027 et une équipe incarnant « renouvellement et diversité ». « Je ferai tout pour réussir cette mission », conclut-il.

Manuel Bompard dénonce la (re) nomination de Lecornu
Manuel Bompard (LFI) dénonce « un nouveau bras d’honneur aux Français ».

«Il n’y aura pas de ministre Horizons dans un gouvernement qui revient sur la réforme des retraites », a indiqué le porte-parole du parti, Arnaud Péricard, sur BFMTV. « Des amendements et aménagements sont toujours possibles et nous sommes ouverts à la discussion. Revenir dessus c’est non », a-t-il insisté. « Le compromis, ce n’est pas la dérobade. La stabilité, ce n’est pas sortir du réel la France et ses 3.400 milliards d’euros de dette », a déclaré Edouard Philippe devant les responsables d’Horizons, rapporte Le Figaro.

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